Murielle – Directrice commerciale

Quel est ton rôle au sein du groupe ?

Mon rôle est d’a­ni­mer l’é­quipe com­mer­ciale consti­tuée de consul­tants. Je pilote la pros­pec­tion de nou­veaux clients et le déve­lop­pe­ment des clients exis­tants sur l’en­semble de nos solu­tions. 

Peux-tu nous présenter rapidement ton parcours ?

Mon par­cours est fait de ren­contres. Rien ne me des­ti­nait à tra­vailler dans l’IT et encore moins dans les noms de domaine. J’ai un pas­sé de com­mu­ni­cante qui m’a ame­né à échan­ger avec des acteurs majeurs du sec­teur. J’ai tout de suite été cap­ti­vée par le sujet et tout son éco­sys­tème. J’ai tra­vaillé dans plu­sieurs entre­prises phares de la domai­no­sphère. J’ai logi­que­ment rejoint l’a­ven­ture Nameshield, lea­der fran­çais cor­po­rate en 2013 pour pour­suivre ma car­rière. 

As-tu une spécialité insoupçonnée ou un signe particulier ?

Je confesse une pas­sion immo­dé­rée pour les nou­velles tech­no­lo­gies et les réseaux sociaux. La der­nière en date est Strava, le plus grand réseau social pour les spor­tifs.

Je me suis prise au jeu de la com­pé­ti­tion en ligne et cumule 25km de course à pied, 50 km de vélo et 1000m de nata­tion par semaine pour ali­men­ter ma page !

A ce niveau ce n’est plus une pas­sion mais bien une addic­tion !

Une anecdote à partager ?

Dans le cadre de mes fonc­tions de direc­tion com­mer­ciale, je par­ti­cipe sys­té­ma­ti­que­ment aux sou­te­nances d’ap­pel d’offres. Ces pré­sen­ta­tions se déroulent chez le client en pré­sence de toutes les par­ties concer­nées par nos métiers. L’entreprise compte en géné­ral cinq ou six repré­sen­tants. Côté Nameshield, il est assez fré­quent de comp­ter trois ora­teurs voire quatre.

Pour ma toute pre­mière pré­sen­ta­tion, nous avons été reçus chez un construc­teur auto­mo­bile. Pas moins de quinze per­sonnes nous atten­daient dans une salle sombre en sous-sol.

Trois heures de pré­sen­ta­tion, sans inter­rup­tion. C’est ma quinte de toux incon­trô­lable qui nous aura per­mis d’ob­te­nir un modeste verre d’eau pour quatre. Une vraie épreuve de Koh-Lanta…

A comp­ter de ce jour, toutes les sou­te­nances sui­vantes m’ont tou­jours paru beau­coup plus simples !