Quel est ton rôle au sein de l’équipe ?
Je contribue à la production de contenu, qu’il s’agisse de visuels pour les réseaux sociaux, le blog, le site à destination des internautes ou de documentation et supports aux commerciaux sous différentes formes, numériques ou imprimées. Entre le graphisme, le code et la mise en page, un métier qui nécessite de la polyvalence.
Peux-tu nous présenter rapidement ton parcours ?
Après une formation en arts appliqués et communication visuelle à l’ENSAAMA, je suis entré dans le monde du travail par la porte de l’imprimerie ; je créais des étiquettes pour des eaux minérales, des boissons gazeuses ainsi que des dépliants tabloïds pour des enseignes de la grande distribution.
Puis après une période en tant que graphiste freelance, je suis rentré chez Nameshield qui recherchait un webdesigner au moment où Internet s’ouvrait au grand public. J’ai alors créé une centaine de sites internet pour des sociétés ou des collectivités, clientes de l’entreprise, avant de me consacrer entièrement aux besoins de Nameshield. Je suis aujourd’hui Chargé de communication au sein d’une équipe de 4 personnes.
As-tu une spécialité insoupçonnée ou un signe particulier ?
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours dessiné et cela même lorsque cela n’était pas opportun : je me souviens qu’au collège, les marges de mes cahiers étaient souvent noircies de bandes dessinées.
Aujourd’hui, je suis heureux de pouvoir lâcher un peu l’infographie et le code pour me remettre au dessin au trait grâce à la facilitation graphique, une technique que j’aime partager avec mes collègues de tous services, lors d’ateliers découverte.
Une anecdote à partager ?
Je suis arrivé chez Nameshield à l’époque où tout était à faire sur le web, nous avons été des pionniers dans la recherche en ligne et la surveillance, mais aussi pendant une période, dans la promotion et la création de réseaux d’internautes bien avant les GAFA, et je suis ravi d’avoir pu y contribuer. En ce temps-là, nous nous imposions de maîtriser le poids des images et ce n’était pas dans un souci écologique comme aujourd’hui, mais tout simplement pour que les pages web puissent s’afficher à une vitesse « raisonnable » avec les modems 56k dont étaient équipés la plupart des utilisateurs.