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Bruno, Chargé de Communication

Bruno, Chargé de Communication chez Nameshield

Quel est ton rôle au sein de l’équipe ?

Je contri­bue à la pro­duc­tion de conte­nu, qu’il s’agisse de visuels pour les réseaux sociaux, le blog, le site à des­ti­na­tion des inter­nautes ou de docu­men­ta­tion et sup­ports aux com­mer­ciaux sous dif­fé­rentes formes, numé­riques ou impri­mées. Entre le gra­phisme, le code et la mise en page, un métier qui néces­site de la poly­va­lence.

Peux-tu nous présenter rapidement ton parcours ?

Après une for­ma­tion en arts appli­qués et com­mu­ni­ca­tion visuelle à l’ENSAAMA, je suis entré dans le monde du tra­vail par la porte de l’imprimerie ; je créais des éti­quettes pour des eaux miné­rales, des bois­sons gazeuses ain­si que des dépliants tabloïds pour des enseignes de la grande dis­tri­bu­tion.

Puis après une période en tant que gra­phiste free­lance, je suis ren­tré chez Nameshield qui recher­chait un web­de­si­gner au moment où Internet s’ouvrait au grand public. J’ai alors créé une cen­taine de sites inter­net pour des socié­tés ou des col­lec­ti­vi­tés, clientes de l’entreprise, avant de me consa­crer entiè­re­ment aux besoins de Nameshield. Je suis aujourd’hui Chargé de com­mu­ni­ca­tion au sein d’une équipe de 4 per­sonnes.

As-tu une spécialité insoupçonnée ou un signe particulier ?

Aussi loin que je me sou­vienne, j’ai tou­jours des­si­né et cela même lorsque cela n’était pas oppor­tun : je me sou­viens qu’au col­lège, les marges de mes cahiers étaient sou­vent noir­cies de bandes des­si­nées.

Aujourd’hui, je suis heu­reux de pou­voir lâcher un peu l’infographie et le code pour me remettre au des­sin au trait grâce à la faci­li­ta­tion gra­phique, une tech­nique que j’aime par­ta­ger avec mes col­lègues de tous ser­vices, lors d’ateliers décou­verte.

Une anecdote à partager ?

Je suis arri­vé chez Nameshield à l’époque où tout était à faire sur le web, nous avons été des pion­niers dans la recherche en ligne et la sur­veillance, mais aus­si pen­dant une période, dans la pro­mo­tion et la créa­tion de réseaux d’internautes bien avant les GAFA, et je suis ravi d’avoir pu y contri­buer. En ce temps-là, nous nous impo­sions de maî­tri­ser le poids des images et ce n’était pas dans un sou­ci éco­lo­gique comme aujourd’hui, mais tout sim­ple­ment pour que les pages web puissent s’afficher à une vitesse « rai­son­nable » avec les modems 56k dont étaient équi­pés la plu­part des uti­li­sa­teurs.